Débutons par un saut dans le passé, c’est en –1480 que furent retrouvées les premières étiquettes connues. Venues tout droit d’Egyptes elles furent découvertes sous forme d’inscriptions gravées sur des plaques en bois ou en métal. Elles étaient à l’époque enterrées avec les nobles dans “la Vallée des rois”.
Un peu plus tard, c’est sur les les tonneaux de vin que furent posées les étiquettes. Le but était de marquer les tonneaux afin de faire apparaître l’origine et le nom du vignoble. Le système servait donc d’étiquette et permettait de faire connaître le vin lors de banquets ou de réceptions.
À la fin du 17 ème siècle, l’étiquette change de secteur. Les petites étiquettes font leur apparition et sont utilisées pour marquer le matériel médical.
Le 18ème siècle marque un tournant pour les vignobles, suite à l’autorisation du port de vin en bouteille les plus nobles commencent à étiqueter leurs bouteilles. Toutes les étiquettes étaient imprimées sur du papier fait main et collées sur les bouteilles.
En 1789 une avancée majeure a permis de rendre la production d’étiquettes plus simple: l’invention de la machine à papier par le Français Louis-Nicolas Robert.
A partir de 1830 des étiquettes de différentes matières ont été utilisés sur divers produits ; vin, alimentaire ainsi que le médical. Nouvelle avancée en 1890, suite à l’analyse du marché, les étiquettes couleurs font leur apparition.